Composants Montés en Surface.
Table des matières
Fabrication industrielle de cartes électronique à CMS.
Quelques conseils d'utilisation.
CMS = Composant Monté en Surface (SMC = Surface Mount Component)
Ces composants sont donc montés sur un circuit imprimé sans "trous" pour ces dit composants. On retrouve quasiment la totalité des composants traditionnels sous forme de CMS, bien sur résistances, condensateurs (chimiques ou non), selfs, transistors, circuit intégrés, leds, interrupteurs, connecteurs, fusibles, etc...
L'avantage d'un CMS est qu'il occupe moins de place, donc permet l'implantation d'un plus grand nombre de composants sur une surface donnée. D'autre part on peut implanter des composants de chaque coté du circuit imprimé en vis à vis.
L'inconvénient principal c'est que sorti du contexte industriel il est plutôt difficile d'emploi pour un bricoleur (repérage de sa valeur, préhension, réparation), mais avec de la patience il est possible d'obtenir de bons résultats.
Fabrication industrielle de cartes électronique à CMS.
Voici une description succincte d'une chaîne de
fabrication industrielle de cartes électronique.
Cette description restera volontairement floue afin de ne pas
entrer dans des détails techniques qui seraient spécifiques aux
machines. De plus il ne s'agit que de faire une simple visite
dans cet univers qui est loin du coin d'établi sur lequel tout
Om à des chances de bricoler !
Évidement il ne sera question que de machines existantes ou ayant
existées, le futur nous réservera certainement de nouveaux
procédés plus rapide et plus fiables...
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Nous allons suivre le chemin parcouru par un
circuit imprimé pour passer de nu au circuit complet avec tous
ses composants CMS, traversant axiaux/radiaux/connecteurs/..., puis le test.
Ce chemin peut s'appeler une chaîne, parfois rompue, car un
circuit peut repasser plusieurs fois dans la même machine,
celle-ci effectuant une tache légèrement différente des
passages précédents. Prenons quelques exemples :
Cas d'un circuit simple face cms, sans composant traversant
:
- un simple passage en sérigraphie de pâte à braser, pose
cms et four de refusion, suffit.
Cas d'un circuit simple face cms, avec composants traversant
(discrets) :
- passage en sérigraphie de pâte à braser, pose
cms et four de refusion, insertion
automatique ou manuelle des composants "discrets" et passage
en vague. Il est à noter que si les composants traversant
sont de l'autre coté de la face des CMS et en nombre réduit (1 connecteur
par exemple), il est possible de les traiter en PinTroughPass : on sérigraphie
la carte en mettant de la pâte à braser sur les plages du traversant, puis
on introduit le traversant et ensuite on effectue la pose des cms +
refusion, tous les composants sont brasés en même temps...
Cas du circuit double face, cms des deux cotés sans traversant
:
- on effectue une double refusion, c'est à dire que l'on commence par la
face supportant les composants les moins "lourds", sérigraphie,
pose cms et refusion, puis l'on retourne
le circuit et l'on procède de même pour la seconde face. Le circuit n'a
plus qu'à passer au test...
Cas du circuit double face, cms des deux cotés avec traversant
:
- premier choix, à l'ancienne, on effectue une sérigraphie,
pose cms puis refusion du coté des
composants traversant et ensuite on retourne la carte on fait un encollage,
pose cms puis polymérisation de la colle, les traversant
sont insérés et la carte passe en vague...
- deuxième choix, "plus moderne", on fait comme pour le (c) une
double refusion, on insère les traversant et on effectue
une vague partielle ou sélective (juste les endroits ou
sortent les pattes), pour ce faire il faut une zone autour évidement sans
CMS.
....................................................
Voici donc cette fameuse chaîne de machines..
A l'arrivée du circuit imprime nu, celui-ci est déballé et inséré
dans un rack antistatique, automatisation oblige.
1/ - Le rack, rempli, est déposé sur un désempileur qui va
sortir automatiquement les circuits un à un et les envoyer dans
la première machine, la sérigraphieuse, le
circuit passe ensuite dans la machine à poser les
CMS puis dans le four de refusion.
A ce stade une première face du circuit est complète au niveau
CMS. Il s'agit souvent de la face dite éléments. C'est à ce moment que
la chaîne se rompt les circuits sont envoyés dans un empileur
qui à l'inverse du désempileur remet automatiquement les
circuits imprimes dans un rack.
Pour certaines cartes entièrement CMS (c ou d ci-dessus), c'est à dire ne
comportant aucun composant traversant, il existe la possibilité
d'effectuer une double refusion, c'est à dire qu'après une
première face faite en refusion (1) on retourne le circuit
imprimé et l'on recommence cette même opération pour la deuxième
face de la on passe directement à la finition
et au test (5).
2/ - Les racks remplis de cartes équipées de la première face
sont réintroduit au début de la chaîne que l'on reprogramme
pour monter la deuxième face.
A ce moment le circuit entre dans la machine à
encoller, puis retourne de nouveau dans la
machine à poser les CMS et passe à nouveau dans four qui est cette fois ci programmé en polymérisation.
3/ - Il est temps alors d'insérer les composants discrets, ceux
qui ont encore des queues ou fils (résistances, condensateurs,
diodes, selfs, connecteurs) à l'aide de la machine à insertion.
4/ - Nous avons donc un circuit équipé sur les deux faces de CMS
et de quelques composants "discrets". Il est temps
d'insérer les derniers composants, soit les circuits intégrés
(DIL avec la machine à insertion les autres
plus exotiques à la main), transistors, connecteurs, renforts,
blindages etc... Il ne reste plus qu'à passer le circuit à la vague.
5/ - Les circuits une fois refroidis et nettoyés passent à la finition et enfin au test. Il
ne reste plus qu'a emballer et expédier au client...
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Cette première machine sert à déposer de la pâte à braser sur le circuit imprimé à l'aide d'un pochoir,
mais pourquoi déposer une pâte ?
Cette pâte est tout simplement de la "soudure" (mélange
de plomb/étain) molle à la température ambiante. Cette
apparence molle s'explique très bien vue au microscope, car la pâte est composée de micro-billes (le mélange étain/plomb)
amalgamés avec une "graisse" (Flux). Comme les brasures, il existe différentes qualités/mélanges de
pâte.
Et le pochoir ? C'est l'équivalent d'une passoire qui permet de
déposer la pâte uniquement aux endroits voulus, c'est à dire
sur les plages devant accueillir les pattes des composants à
souder. Il est a noter que l'épaisseur du pochoir est faible (100
à 300 microns environs), vous pouvez imaginer le peu de soudure
nécessaire à la réalisation de la liaison.
Il suffira de chauffer convenablement la pâte pour qu'elle "fonde"
réellement, c'est a dire que le flux décape les
contacts puis s'évapore et que les billes fondent effectuant la
brasure conventionnelle entre patte du composant et plage de
circuit imprimé. Ce sera le rôle du tunnel de refusion.
Un peu de technique quand même, avez vous déjà observé
certains circuits (du style carte mère PC) comportant de
magnifiques pavés à plusieurs centaines de pattes avec un pas
faible (de l'ordre du demi millimètre) ???
Comment réussir à tout les coups à centrer rapidement le
pochoir pour que le trou correspondant soit pile en face et non
pas à cheval engendrant des court-circuits lors de la fusion ? (la
largeur d'une plage de pas "fin" fait de 200 à 320
micron de large!)
Une réponse simple : un centrage "optique" à l'aide
d'une caméra, on compare l'emplacement de mires disposés sur le
circuit-imprimé à celles disposées sur le pochoir, il suffit
alors de corriger le décalage soit manuellement soit à l'aide
d'asservissement électronique. Cette même caméra peut "juger"
de la quantité de pâte déposée sur les plages et ainsi prévenir lorsque qu'un défaut se produit (court-circuit par la
pâte,
manque de pâte, décentrage, etc...).
Bref le circuit entre dans la machine à sérigraphier, la caméra scrute
les mires et le recale. C'est alors que l'on plaque le pochoir
contre le circuit et à l'aide d'une raclette on "tire"
la pâte sur le pochoir. Il ne restera que ce qui est passé dans
les trous...
Circuit imprimé nu. |
Pochoir. |
La pâte est déposée. |
Puis le composant. |
Et après la refusion. |
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Cette machine sert à déposer des points de
colle sur le circuit imprimé afin de coller les composants CMS
à leur place en général du côté "soudures", pour un passage à la
vague ou un brasage manuel.
On peu aussi encoller certains composants localisés près de traversant pour
effectuer une vague partielle du circuit.
Le circuit entre donc dans l'encolleuse, une caméra vient
visiter la carte pour la centrer et c'est le ballet de seringues
qui vont déposer des points de colle, de différentes tailles,
aux futurs emplacements des composants.
Pourquoi coller les composants alors qu'ils vont être soudés me
direz vous ?
Essayez de poser des cms sur une plaque de la retourner pour la
passer dans une machine à vaguer sans que les composants ne
tombent !
De même avez vous déjà essayé de braser manuellement un CMS sans le tenir,
vous aurez immédiatement l'effet "mannathan", c'est à
dire que lorsque vous chauffez à un bout pour souder, le
composant se relève à l'autre bout...
Bref l'encollage sert tout simplement à coller le composant pour
qu'il ne bouge pas le temps d'effectuer la brasure par elle même.
N'oubliez pas cette étape, car lorsque vous essayez parfois de réparer
un circuit et qu'un composant ne veux pas se débraser
facilement, ce n'est pas forcement parce que le fer ne chauffe
pas assez...
Petite note, comme pour la sérigraphie le système de caméra
scrute la carte pour repérer la position des mires et recale
ainsi les points de colle par rapport à la carte. Certaines
machines même, peuvent vérifier sur quelques points de colle,
la présence et la bonne quantité de cette colle.
Une nouvelle technique va sans doute reléguer les encolleuses à
la ferraille, si une machine à sérigraphier
peut déposer de la pâte sur des plages d'accueils, elle peut
certainement aussi déposer par le même système de la colle
sous les composants. Cette technique assez pointue lorsqu'on démarre de zéro
est fiable, elle permet notamment une bonne répétitivité et un gain de temps...
Circuit imprimé nu. |
Dépôt de la colle |
Pose cms polymérisation. |
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Nous voici au gros morceau de la chaîne, c'est
peut être la machine la plus "intelligente" de
l'ensemble, car elle doit prendre un grand nombre de décisions
dans un temps très court.
Plusieurs types existent, cela va de la machine universelle, qui
va déposer toutes sortes de composants, à celles plus spécifiques
qui ne poseront par exemple que les chips (résistances/ capacités/
transistors/ voir petits circuits SO8) mais qui seront plus
rapides.
Certaines ne sauront effectuer que des centrages de composant
optiquement alors que d'autres auront le choix optique/mécanique.
De même le cheminement d'un composant ne sera pas le même d'une
machine à l'autre, il pourra même être testé avant la pose.
Essayons de suivre le cheminement. Le circuit imprimé arrive, il
est immobilisé sur la table de la machine, une caméra vérifie la position des mires, toujours dans le but de centrer la carte.
A partir de ce moment cela va être la recherche des composants
pour leurs poses sur le circuit. La table de la machine se déplaçant suivant
les X ou Y voir X et Y pour que la tête tenant le composant arrive à la bonne
place.
La au moins deux écoles, soit c'est un magasin qui contient les
composants qui se déplace devant la tête les posant, pour lui
donner le bon, soit c'est la tête qui va chercher dans le bon
magasin le bon composant à placer.
A titre d'information ces machines peuvent poser de 4000 à 100000
composants à l'heure... Essayez de suivre avec votre fer à
souder !
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Four (Refusion/Polymérisation)
Le four est un tunnel assez long composé de plusieurs zones de chauffe que l'on peut
régler indépendamment,
en général la carte commence à être préchauffée (env 100°) ce qui permet
aussi l'évaporation des solvants, puis passe
dans une zone plus chaude, permettant l'action des "flux"
nettoyant les plages (100° à 170°), puis arrive le pic de température pour
permettre la refusion de l'étain (230° env.), enfin la température
redescend rapidement pour revenir à la température
ambiante.
Son travail est d'effectuer la refusion (faire fusionner la pâte déposée sur le circuit imprimé) ou de polymériser ("sécher"
la colle sous les composants).
Dans le cas de la polymérisation la température est quasiment
constante d'un bout à l'autre du tunnel (environ à 100°C), pas besoin de pic !
Il est évident que pour une refusion les températures ne seront
pas les mêmes que pour une polymérisation. D'ailleurs les températures
sont modifiées suivant le type de carte.
Il existe différent processus de refusion et donc différent
types de tunnels (A air, Azote, atmosphère neutre, phase vapeur...)
de même ils peuvent être convectif, radiants, ...
PS : les températures sont données à titre d'info et ne sont pas exactement
celles utilisées...
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Trois grands types de composants traversant :
- les axiaux, ceux qui ont leurs connexions sur le même axe (résistances,
condensateurs chimiques, ...)
- les radiaux, ceux qui ont leurs connexions l'une à coté de
l'autre (capa mkh, céramique, VDR, quartz, transistors, ...)
- les DIL, ceux qui ont deux rangés de pattes (circuit intégrés,
réseaux,...)
Le principe de pose est toujours le même, le circuit imprimé
est centré mécaniquement par des pions de locating, le
composant arrive via une bande ou un stick, est mis en forme pour
le cas de l'axial, puis est inséré sur la carte à son
emplacement, des pinces situées sous la carte coupe les queues
à la bonne longueur puis plient ces mêmes queues pour que le
composant ne puisse se retirer.
Il existe diverses machines pour chaque type, certaines peuvent même
insérer deux types différent de composant.
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Le but est de braser les composants "traversant" et CMS sous la
carte.
Les cartes se déplacent à plat sur un convoyeur et passent tout d'abord sur un
rideau de flux qui va nettoyer les plages et les connexions (rôle normalement
de la résine contenue dans le fil d'étain) puis la carte est préchauffée,
cela active le flux et met la carte à température, et enfin la carte passe au
dessus de la vague d'étain, seul l'étain nécessaire reste
"accroché" aux plages de brasures. les brasures sont faites. Parfois
quelques court-circuits se déposent, mais ceux-ci sont éliminés lors de la
finition.
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Sont rôle est de finir la carte, c'est à dire monter manuellement les composants ou accessoires non montés par machine automatique ou ceux qui ne peuvent ni passer à la vague ou dans le tunnel de polymérisation/refusion (style afficheur LCD). C'est aussi à cette étape que l'on peux vérifier s'il n'y a pas de problèmes de brasage ou de composants sur la carte...
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Plusieurs test sont possibles, "In-situ" on vérifie la valeur des composants de façon plus ou moins passive (vérification de la valeur des résistances, capacités, fonctions logiques ou analogique des circuit-intégrés, ...), "fonctionnel" la carte est sous tension et on vérifie qu'elle assure correctement la fonction pour laquelle elle est prévue...
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Axial | Un composant axial, est un composant dont les connexions sortent par les axes. | |
Circuit Imprimé | Plaque en bakélite, Époxy, Téflon sur laquelle on pose ou implante les composants. | |
CMS | Composant Monté en Surface, il n'a aucune connexion qui traverse le circuit imprimé, il est donc monté en surface. | |
Om | Terme radio amateur "Old Man" : une personne | |
Rack | Casier de rangement des circuits imprimés nus ou équipés | |
Radial | Un composant radial, est un composant dont les connexions sortent d'un même coté. | |
Sérigraphie | Système qui permet de déposer à travers un masque de la colle, de la pâte à braser ou de l'encre. |
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Quelques conseils d'utilisation - en manuel (CMS).
Stockage des composants : conservez vos composants dans les bandes,
sticks ou plateaux correctement repérés, car dès qu'ils sont déballés leurs
repérages devient problématique ! essayez de savoir de quelle valeur est une
capa !? de plus le fait de toucher les connexions les oxydes et le brasage
devient de plus en plus difficile.
Brasage (manuel je répète): il faut préchauffer les composants et éviter d'appliquer des
efforts mécaniques dessus, sinon il peuvent casser... Vue leurs tailles il est
souvent nécessaire de les coller avant, attention à la colle pour qu'elle ne
pollue pas les parties à braser, plages ou pattes.
Débrasage d'un composant : s'il s'agit d'un chip genre résistance ou
capa, avec un peu d'habileté et d'habitude il est possible de le débraser avec
un seul fer en allant successivement d'une plage à l'autre, sinon utiliser deux
fer, un à chaque bout !
Si par hasard il est collé, le mieux est d'éliminer toute brasure avec de la
tresse à dessouder fine, puis de "casser" le point de
colle...
Pour un gros composant, plus de deux plages, si vous ne souhaitez pas le récupérer, le mieux est de couper toutes les pattes avec une pince coupante
"fine", d'éliminer le boîtier et de dessouder ensuite une à une
chaque patte... L'autre solution est d'avoir un thermo-soufflant, genre de sèche
cheveux mais qui monte à 500°C, et de débraser d'un coup toutes les pattes,
attention quand même aux composants proches... n'hésitez pas à préchauffer
le circuit avant, un choc thermique peut faire décoller les couches internes.
Les plages d'accueils : attention c'est tout de même fragile, il ne faut
pas les surchauffer lors des opérations de brasage.
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Contrairement à ce que l'on pourrait
croire les composants CMS ne sont pas obligatoirement petit, on retrouve la
même gamme à peut de chose prêt qu'en composants dits discrets.
Résistances, potentiomètres, condensateurs, diodes, transistors, circuits
intégrés, inductances, transformateurs, connecteurs, éléments de puissance,
afficheurs...
En gros on doit pouvoir dire que cela tient dans les gabarits de taille de
0,5x0,2 mm (chip 0201) à 80x80mm (QFP408) !
Tous les jours, ou presque, de nouveaux moutons à cinq pattes apparaissent,
permettant une plus grande intégration.
Voici une liste non exhaustive de ce que l'on peut trouver avec les dimensions :
Machines, moyens de productions | |
DEK | sérigraphie... |
ELTRACO | vente de machines... |
EUROPLACER | pose CMS... |
FUJI | pose CMS, encollage... |
JAHNICHEN | outillages divers... |
MIMOT | Pose CMS... |
MYDATA | pose CMS, convoyage, four phase vapeur, sérigraphie... |
SMTECH | sérigraphie... |
SIEMENS | pose CMS... |
TDK | encollage et pose CMS... |
SEREMAP | convoyage... |
ZWEBA | vente de machines... |
Sites pour les composants | |
DATASHEET LOCATOR | Pour trouver les datas sheets en fonction du constructeur. |
COMPONENT SOURCE | Moteur de recherche. |
Liste non exhaustive ....
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devant l'adresse & remplacez "arobasse" par @ :
(ATTENTION je ne propose aucun service ou vente de matériel, voir les liens
ci-dessus)
Dernière modification : le samedi 16 février 2008